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Chez des camarades
Labo-Edith
publication 20 février 2016
Il y a dans l’ouvrage Edith publié récemment par le «groupe de recherche sur la microédition et l’édition indépendante initié par une école d’art (l’ESADHaR)» un texte de Stéphane Robert, de dasein.

 

Il (son texte) est lourd, ampoulé, philo-marxiste de façon agaçante et parsemé de blagues que lui seul comprend. Du reste de l’ouvrage, nous ne savons rien si ce n’est qu’il a été dirigé par Gilles Acézat, Dominique De Beir, Océane Delleaux et Catherine Schwartz, qu’il y a des logos sur la couverture, et ce qu’en dit ce résumé:
«Edith s’intéresse à des formes éditoriales reposant sur une économie limite qui n’est jamais un frein à leur ambition, et même, qui les définit. Les matériaux, les espaces, les nuits blanches des éditeurs et des auteurs, les découverts bancaires, la durée de vie de ces projets d’édition participent de leur forme. La microédition d’artistes, de graphistes, se caractérise par sa capacité rapide à englober de nouvelles formes, à faire évoluer ses critères et ses repères. Edith, en tentant d’en saisir les contours et l’organisation (géographique, stratégique), a vu, en permanence, sa recherche s’élargir. Alors Edith cherche encore, et combine pour ce faire sans distinction expositions, pratiques éditoriales, enquêtes, expériences intuitives contredisant parfois (souvent) ses propres postulats.»

Nous recevrons ce livre sous peu et en ferons un compte-rendu précis et sans concession.
L’objet peut être acheter ici ↗.
En savoir plus sur le labo «Edith» là ↗.
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